Louez l’esprit libre (juillet 2024)

210 clients louent L’ESPRIT LIBRE avec LOCACUISINES.

Location de cuisines modulaires en France et en Europe !

Au 31 juillet 2024, les cuisines LOCACUISINES sont présentes dans :

  • 3 pays : France, Belgique & Suisse
  • 45 départements 
  • 210 entreprises / collectivités / restaurants / événements ….

Location de la très courte à la longue durée

Alors que certains matériels de cuisine sont loués pour 1 journée, certaines cuisines sont installées depuis 14 ans. LOCACUISINES s’adapte à la demande du client pour lui permettre de bénéficier de la cuisine le temps qu’il souhaite.

Leader de la cuisine modulaire en France

  • 7505 matériels et accessoires de grande cuisine : plancha, four, cellule de refroidissement, laveuse à capot, armoire froide,….
  • 552 modules : préparation froide, cuisson, chambre froide, laverie, SAS, salle de restaurant, Quick&Eat,…

+ de 9 clients sur 10 satisfaits !

A la fin de chaque location, une enquête de satisfaction est envoyée pour évaluer les prestations : matériel fourni, livraison, installation, service assistance… 93,3% des clients sont satisfaits des prestations LOCACUISINES (juin 2024).

TEAM LOCACUISINES : 87 collaborateurs

  • 49 salariés : à Lespinasse, Bordeaux, Paris, et Ablis
  • 15 intérims 
  • 20 contractuels
  • 3 détachés pour LOCACUISINES

 

[TÉMOIGNAGE] Le Gall Cup (SILL) – Mélanie GENTIL

Location de matériels pour le concours culinaire Le Gall Cup

Créée à Plouvien, dans le Finistère, le Groupe SILL s’appuie sur sa longue histoire familiale pour répondre aux enjeux de demain.

Depuis 60 ans, SILL propose des produits gourmands, sains et équilibrés pour toute la famille (produits laitiers, nutrition spécialisée, plats cuisinés,…)

Pour fêter les 100 ans de la Laiterie Le Gall, le Groupe SILL s’est lancé un nouveau défi : créer un concours pour mettre en valeur sa gamme de produits de Crèmerie dont le Beurre et le Cream Cheese Le Gall Professionnel.

Découvrez l’interview de Mélanie GENTIL.

MÉLANIE GENTIL, AU COEUR DU CONCOURS

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je suis Mélanie Gentil, cheffe de projets Ingrédients, en charge du Marketing et du Développement des ingrédients laitiers du Groupe SILL.

LE GALL CUP

Pouvez-vous nous décrire en quelques mots ce qu’est la Le Gall Cup ?

Dans le cadre des 100 ans de la laiterie Le Gall, le Groupe SILL a organisé un événement dédié à ses clients professionnels, la première édition la Le Gall Cup. A cette occasion, 5 chefs pâtissiers du monde entier ont été invités, le temps d’une semaine, à participer à un concours de pâtisserie mais également à découvrir la Région Bretagne, les process de fabrication et les produits Le Gall Professionnel.

Quels pays étaient représentés lors de ce concours ?

Pour cette première édition, 5 pays étaient représentés :  le Japon, la Corée, la Thaïlande, l’Italie et la France.

Comment s’est déroulé le concours ?

Le Samedi 30 Septembre, les candidats ont eu chacun 3h30 pour mettre en valeur le Beurre et le Cream Cheese Le Gall professionnel. Une seule contrainte : utiliser  au moins 20% de Beurre ou Cream Cheese, dans leur dessert.

Leur dessert à l’assiette a été jugé par un jury composé de personnes connues du métier : Christophe Marguin, Philippe Urraca, Jean-Luc L’Hourre, Yvon Morvan et Thierry Nougaret. Cette compétition s’est déroulée dans un cadre propice à la créativité, à La Chocolaterie Saint Thonan (29).

UNE PREMIERE EDITION REUSSIE

Qui a gagné cette première édition ?

Chef MAY, qui représentait la Thaïlande, a remporté le premier prix avec son dessert intitulé « Mousse au fromage et gelée de fraises avec glace de beurre brun et consommé de fraises au basilic, glace à la menthe, bonbons à la noisette et figues caramélisées ».

Pour cet événement, vous avez choisi de louer des matériels LOCACUISINES, avez-vous été satisfaits ? 

Oui, entièrement satisfaits. Je note tout particulièrement la réactivité, le professionnalisme. Le matériel professionnel que nous avons reçu est de qualité !

[TÉMOIGNAGE] Salon Sport Unlimitech – Karine HERMANN

Location de Quick&Eat pour le salon Sport Unlimitech

  

Organisé dans plusieurs villes de France, le salon Sport Unlimitech, présidé par Frédéric Michalak, est l’événement incontournable pour tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au monde du sport et de l’innovation.

Pendant 3 jours, l’événement s’est installé au pied de la tour Eiffel. Des valeurs du sport, au dépassement de soi, en passant par la santé, les infrastructures, l’éducation, toutes ces thématiques ont été abordées par les acteurs qui constituent l’écosystème du sport en France.

Déjà présent lors du salon de Toulouse, nous avons décidé d’accompagner Sport Unlimitech sur cette nouvelle édition avec l’installation d’un module Quick & Eat équipé.

Découvrez l’interview de Karine Hermann, Directrice Générale de Sport Unlimitech.

UN SALON DÉDIÉ AU SPORT ET 100% ITINÉRANT

Pouvez-vous vous présenter le salon SPORT UNLIMITECH ?

Sport Unlimitech est un écosystème qui réunit autour de forums dans plusieurs territoires tous les acteurs du sport afin d’accélérer l’innovation et la croissance dans cette filière.

Lille, Toulouse, Lyon, Paris : ces villes ont toutes accueillies le salon, pourquoi cette volonté de fonctionner en étape ?

On a décidé de créer ce salon itinérant afin d’effectuer le dernier kilomètre qu’aucune organisation ne réalise. Les talents et experts œuvrent dans toute la France et ne sont pas forcément visibles. Ils se font plus facilement connaître quand on vient à leur rencontre.

UNE PREMIÈRE ÉDITION PARISIENNE

Première étape parisienne, pouvez-vous nous parler de cet événement ?

Cette première étape parisienne a permis aux acteurs territoriaux de montrer ce qu’était le sport et les innovations qui l’accompagnent. Il s’agissait pour nous, en plein cœur de Paris de lancer un mouvement qui intègre tous les acteurs : entreprises, chercheurs, clubs, fédérations, associations, collectivités, athlètes, investisseurs, start up… pour que les additions de valeurs se créent.

Pour donner quelques chiffres, l’édition à Paris a regroupé:
– 53 exposants,
– 15 conférences,
– 10 vestiaires – prises de parole devant 30 à 30 personnes
C’était une belle édition. Le sport on en parle et on en fait !

Nous vous avons accompagné avec un module Quick&Eat, quel a été l’utilité de ce module ?

Ce module est une solution économique, écologique et très adaptable à beaucoup d’événements – petits ou gros, locaux, nationaux ou territoriaux.
Durant les 3 jours, il a servi de base arrière au traiteur parce qu’il est très bien équipé.

Quels sont les avantages de louer un module LOCACUISINES ? 

Nous nous sommes tournés vers LOCACUISINES car c’est une entreprise qui partage les valeurs que nous défendons. Vous avez compris que le sport est un moteur puissant de développement et de diffusion.

[TÉMOIGNAGE] We Love Green / Garorock – Matthieu Lalanne

We Love Green, Garorock et Wonderland : du matériel au Chef Lab

Matthieu Lalanne est chargé de la production de toute l’offre food du Festival We Love Green. Soucieux de l’impact écologique d’un tel événement, il se renouvelle à chaque édition pour proposer un festival éco-responsable.

Nous l’avons accompagné sur 3 festivals différents et avons avons recueilli ses impressions sur son expérience avec LOCACUISINES en septembre 2022.

WLG = We Love Green

MATTHIEU LALANNE, CHARGE DE LA PRODUCTION DE L’OFFRE FOOD

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je suis Matthieu Lalanne, chargé de la production de toute l’offre food du Festival We Love Green, en collaboration avec Thomas Grunberg. Lui, il fait partie de l’équipe depuis 6 ans et moi depuis 3 ans.

Notre travail consiste à lancer un appel à candidature avec un cahier des charges mentionnant les normes d’éco-responsabilité à respecter pour les restaurateurs pour le festival. On reçoit toutes les candidatures via internet. On reçoit un peu plus d’une centaine de candidatures. A la suite de quoi, on se réunit avec Thomas et Justine, cheffe de projet, pour faire une sélection coup de cœur. A la fin, on organise un workshop pour présenter le reste des candidatures à un jury de professionnels : Chef Etoilés, journalistes, influenceurs food, … Ensuite, on va contacter les restaurateurs sélectionnés pour les recevoir au sein du festival.

On s’occupe aussi de l’organisation du festival avec l’installation d’un food court, du food lab, qu’on a fait en collaboration avec LOCACUISINES. Avec le foodlab, l’objectif était de prôner la cuisine végétale par le biais de Chef de renom. Pour les foodlab, on souhaitait recevoir les chefs dans des structures conformes aux normes alimentaires plus sérieuses que des stands. D’où notre demande d’avoir loué des containers aménagés chez LOCACUISINES.

Quels sont les festivals / événements auxquels vous participez ?

Avec Thomas, nous sommes tous les 2 freelances. Thomas fait beaucoup de F&B, déjeuners presse, déjeuners pour les marques… Moi, je fais énormément de conseils pour des restaurateurs et de l’accompagnement de Chef à l’année. Certains Chefs sont contactés à l’occasion d’un événement et ils me contactent pour la mise en place du dispositif.

Quels sont vos prochains événements ? 

Mon dernier projet était de m’occuper de toutes les prochaines demandes d’Hospitality et de F&B pour la Coupe du Monde de Football au Qatar. J’ai essayé de rendre l’événement le plus responsable possible, même si ce sont des pays qui sont moins avancés sur ces sujets.

3 FESTIVALS : 3 ENJEUX DIFFERENTS

Pouvez-nous décrire en quelques mots et chiffres les festivals Garorock, We Love Green et Wonderland ?

Pour Wonderland, j’étais programmateur de toute l’offre culinaire. A la base, c’était un appel d’Offre lancé par la SNCF pour l’exploitation de leurs friches. We Love Green avait répondu à cet appel d’Offre pendant le COVID. C’est une tout autre exploitation que WLG, là c’est 4 mois avec beaucoup d’urgences sur le montage et l’exploitation du lieu (à la différence d’un WLG qu’on prépare des mois à l’avance). Pour ce festival, on avait fait appel à vous pour de la location de matériels de cuisine. En fait, on faisait venir 1 Chef par semaine, durant les 4 mois de l’exploitation du lieu. C’était assez compliqué pour les équipes, chaque semaine on avait des typologies de cuisine différentes avec des besoins en matériels différents. On avait fait en sorte de vous faire une grosse demande en matériels dès le début pour anticiper au maximum.

We Love Green existe depuis 10 ans. L’ADN de WLG c’est de mélanger des sujets écologiques, de nourriture et d’art. Les 3 principaux thèmes du festival sont très fortement liés tout au long du festival. On essaye d’avoir des sujets cohérents entre nous. On a beaucoup de réunions en commun sur des problématiques d’impacts écologiques du festival, notamment sur les impacts (en bilan carbone) de ce que font les restaurateurs. A WLG, on veut perpétuellement évoluer et ne jamais rester sur les acquis de l’année passée.

Garorock est encore une autre typologie car j’étais présent en tant que restaurateur. J’ai monté une collaboration avec 2 TOP CHEF, Adrien Cachot et Mallory Gabsi. Moi, je me suis occupée de toute l’organisation du projet. On est arrivé sur ce festival avec une agence événementielle qui réalise autant du traiteur que de l’événement grand public. C’était une approche différente : on a travaillé des plats assez basics : smash burger et un pulled pork mais retravaillés avec une sauce chèvre, ça a beaucoup plu aux festivaliers.

WLG en 2022 a malheureusement dû annuler le samedi soir, quelles conséquences ? 

Sur le plan food, les conséquences sont assez monstrueuses. On a environ 60 restaurateurs qui viennent faire à manger. 1 journée en moins pour eux c’est beaucoup de perte alimentaire et sur leur chiffre d’affaires. Là on s’est rendu compte qu’on avait encore beaucoup de travail pour parer aux conditions météo. La grande chance qu’on a eu c’est qu’on travaille avec des gens formidables sur le plan humain, ils étaient compréhensifs.

UNE MISSION : CREER DES FESTIVALS ECO-RESPONSABLES

Quels sont les défis et enjeux pour produire dans un festival ?

Produire sur un festival et dans un restaurant est deux choses totalement différentes. Avec Thomas, tous les ans, nous sommes conscients qu’à WLG on aura des ratés. On ne fait pas que choisir des restaurants et leur dire « félicitations, vous êtes sélectionnés ». Il y a tout un accompagnement qu’on fait par le biais de workshop où on invite tous les acteurs importants qui interviennent dans la partie restauration.

Sur le plan événementiel, c’est toujours compliqué. On ne sait jamais où on va atterrir. Chaque événement est différent, certains événements imposent une puissance électrique particulière donc il faut ajuster son matériel en fonction.

We Love Green est un festival engagé, quelles mesures sont prises pour créer un festival plus écoresponsable sur la food?

Avec Thomas sur WLG, on a souhaité travailler d’une manière plus intelligente et regarder quels sont les impacts d’un événement de cette taille. Par exemple, plutôt que de demander à chaque restaurateur de faire livrer eux-mêmes leurs matières premières, on fait des tournées de ramassages mutualisés. De cette manière, on réduit les flux de véhicules durant le festival.

Thomas et Marie ont fait le choix de travailler avec Écotable, label écoresponsable de restauration. Ils mettent en place un barème pour les restaurateurs qui veulent prôner une cuisine plus durable : traitement des déchets, origines des produits… Une fois les restaurateurs sélectionnés pour le festival, on leur envoie tous les contacts avec les typologies de cuisine. Les restaurateurs doivent envoyer toutes les factures de tout ce qu’ils ont acheté pour le festival à ce label. A partir de là, Écotable fait une sorte d’audit par restaurateurs et nous les transmettent. A la suite de cela, les restaurateurs ont un petit macaron sur leur stand pour attester qu’ils sont en train de réaliser une restauration durable.

Une autre partie auquel on fait très attention c’est le traitement des déchets : aussi bien pour les festivaliers que pour la partie food. Cette année, une fois le festival terminé, on a envoyé le plus de déchets possibles à une entreprise qui en a fait du composte et de la biométhanisation.  Pour les déchets, on travaille avec la mairie de Paris et l’association AREMACS.

Au fur et à mesure des événements, on se rend vraiment compte qu’il est beaucoup plus simple d’organiser des événements dans des régions qu’on connait : on a un réseau de producteurs et d’entreprises. C’est un défi qu’on s’est lancé pour Garorock : faire travailler au maximum les petits producteurs locaux plutôt que ceux avec qui on a l’habitude de travailler sur Paris. Non seulement, c’est pour faire travailler les producteurs locaux, mais aussi réduire les impacts des transports depuis Paris. On a réussi à 80%. Le principal problème auquel on était confronté, c’était au niveau des volumes. Certains producteurs ne pouvaient pas y répondre.

Au niveau des énergies, on essaye de limiter la consommation en fournissant des packages de puissances économiques selon la taille du stand. S’ils ont un besoin électrique supplémentaire, on leur facture. L’objectif premier est de les encourager à baisser leur impact énergétique.

Certains festivals dans le Nord de l’Europe sont plus en avance que nous sur ces sujets éco-responsables. Ils se penchent beaucoup plus sur les plats végétaux plutôt que ceux à base de viande. Ils prônent une cuisine plus intelligente et basée sur des matières premières moins demandées ou ayant moins d’impact sur la planète.

UNE SOLUTION CLE EN MAINS

Comment avez-vous connu LOCACUISINES et pourquoi nous avoir contacté ?

C’est Thomas, mon associé, qui vous a trouvé sur internet à l’époque de Wonderland. A cette époque-là, c’était que pour du matériel de cuisine. Un de vos commerciaux était passé nous voir à Wonderland et nous avait présenté les modules.Ce qui nous avait plu chez vous, ce sont les locations longues durées. Vos concurrents ne le faisaient pas ou très peu et à des prix pas compétitifs. Avec Thomas, on savait ce qu’on voulait comme matériels lorsqu’on vous a contacté. On avait déjà travaillé sur plusieurs événements donc on savait ce que les Chefs allaient nous demander.

Quels retours d’expérience avez-vous sur l’utilisation des modules Quick & Eat?

Pour les Quick&Eat, la plupart des Chefs nous ont dit que c’était top. En plus, il y avait un technicien LOCACUISINES présent durant tout le festival, il a pu rapidement réagir lorsqu’il y avait des besoins. La seule surprise qu’on a eu c’était au niveau du raccordement électrique. On s’attendait à avoir une grosse prise, mais en fait c’était un compteur électrique auquel il fallait se raccorder. Mais nos électriciens et votre technicien ont résolu cela rapidement pour que tout soit prêt pour le festival, donc ce n’était pas vraiment un problème.

Selon vous, quel est l’avantage du Quick & Eat pour un événement comme We Love Green ?

Les deux principaux avantages : c’est clé en mains et c’est confortable pour les Chefs qui travaillent dedans.

On a validé assez tardivement les 4 containers. Il fallait faire assez attention au site, il ne fallait pas rouler sur la pelouse, ne pas toucher aux arbres donc c’était quand même une installation assez lourde. Mais ça on en était conscient, on n’a pas eu de mauvaise surprise là-dessus.

Et si vous deviez résumer votre expérience avec LOCACUISINES en quelques phrases ?

Très bonne expérience. Ça nous a beaucoup changé, c’était beaucoup plus facile et beaucoup plus fluide de construire une relation avec nos interlocuteurs, que ce soit Jessy, Florent ou Samuel. Ça a été beaucoup plus souple, ils ont été d’une grande compréhension sur l’urgence à laquelle on était confrontée. Ca nous a beaucoup conforté sur les années à venir pour développer d’autres événements en dehors de Paris. Aussi bien que pour WLG ou Garorock, on s’est senti vachement accompagnés. Jessy dans le côté gestion commerciale a été hyper souple vis-à-vis de nous en nous laissant des délais de réponse assez importants. Florent et Samuel ont également suivi le dossier. Et ils étaient tout le temps dispo, et ça c’est quelque chose de très important dans notre métier.

 

[TÉMOIGNAGE] Festival Jazz à l’Hospitalet – Laurent CHABERT

Location de matériels pour le festival Jazz à l’Hospitalet (11)

Propriété de Gérard Bertrand depuis 2002, le Château de l’Hospitalet a organisé la 19e édition du festival Jazz.

C’est dans un écrin de 1 000 hectares que l’hôtel 5 étoiles propose 40 chambres et 28 suites. Pour le bonheur des clients, et des gourmands, 3 restaurants sont proposés : l’Art de Vivre, restaurant gastronomique de 7 tables, Chez Paule, cuisine au feu de bois, et l’Hospitalet Beach installé en front de mer à Narbonne. L’Hospitalet est un lieu d’accueil où se mélange convivialité et gastronomie durable.

Ancien rugbyman professionnel, Gérard Bertrand est devenu, au fil des années, une référence internationale dans la biodynamie. En effet, depuis plusieurs années, la totalité de son vin produit est bio. Connu et reconnu, il exporte ses vins dans plus de 160 pays du monde.

Découvrez l’interview de Laurent Chabert, Chef des 3 restaurants du Château de l’Hospitalet.

LAURENT CHABERT, CHEF DE CUISINE A L’HOSPITALET

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je suis Laurent Chabert, Chef de Cuisine au Château de l’Hospitalet depuis 2014. Originaire de l’Allier, j’ai débuté mon apprentissage là-bas puis j’ai travaillé en tant que Second de Cuisine dans un restaurant étoilé à Val d’Isère. Par la suite, je suis parti en Corse dans 2 restaurants étoilés. Je suis Chef Exécutif au restaurant gastronomique l’Art de Vivre, et aussi Chef pour les 2 autres restaurants : Chez Paule, cuisine de terroir avec cuisson au feu de bois (ouvert de début octobre à fin avril) et Hospitalet Beach (ouvert de mai à fin septembre). Ces 3 restaurants font partis du groupe Gérard Bertrand.

En tant que Chef de Cuisine, qu’est ce qui vous tient le plus à cœur ?

Ce qui me tient le plus à cœur c’est créer du lien avec tous mes producteurs, et mettre leurs produits en valeur dans les différents restaurants. C’est quelque chose que j’aime faire et je travaille dessus au quotidien. Les produits avec lesquels je travaille proviennent essentiellement de la région, plus particulièrement de l’Aude. Pour certains produits, je vais les chercher un peu plus loin, mais jamais à plus de 100km du restaurant.

Aujourd’hui, on travaille pour se faire plaisir. Si reconnaissance il y a, ça serait la cerise sur le gâteau. Le maître-mot c’est de se faire plaisir et de faire plaisir à ses clients pour être le meilleur restaurant de la région.

CHÂTEAU DE L’HOSPITALET : ART DE VIVRE

Pouvez-vous nous décrire en quelques mots ce qu’est le Château de l’Hospitalet ?

Gérard Bertrand a racheté le Château de l’Hospitalet en 2002. Il a voulu créer un lieu d’accueil qui reflète l’art de vivre méditerranéen et français pour présenter ses vins. On a une clientèle internationale qui vient au Château, d’une part par le biais du vin (distribué dans 160 pays) mais aussi par la renommée du restaurant. Le Château de l’Hospitalet c’est aussi un hôtel 5 étoiles de 40 chambres. Aujourd’hui, côté restaurant, nous sommes complets presque tous les soirs. Surtout sur le restaurant l’Art de Vivre où nous avons 7 tables, il faut réserver plusieurs semaines à l’avance.

Il y a quelques jours, le festival Jazz s’est tenu pendant plusieurs soirées, pouvez-vous nous en dire plus sur cet événement ?

Cette année, c’était la 19e édition du festival Jazz à l’Hospitalet. Environ 1400 convives étaient attendus chaque soir des 6 soirées de cette édition 2022.

Les soirées se déroulent dans 3 lieux différents. En premier, les invités se retrouvent dans le parc où se tient le dîner. Ensuite, les concerts ont lieu dans la cour du Château. Enfin, l’after avec la mise en place de différents bars se passe à l’arrière du Château.

LA RESTAURATION DURANT LE FESTIVAL

Un repas gastronomique était proposé aux invités, pouvez-vous nous en dire plus sur la confection des menus ?

Chaque début d’année, je commence à choisir les plats qui seront servis lors du Festival. Il faut savoir que lorsque je crée mes menus, il faut que je me projette sur les produits qui seront de saison en été puisque 100% de mes produits que je sers sont frais et locaux. Nous travaillons tous les produits le matin pour le soir même. Puis, je me rapproche du sommelier et de Gérard Bertrand pour proposer un accord mets et vins. Après cette phase de recherche, c’est beaucoup de logistique. Ce sont plus de 140 tables (de 10 personnes) qu’il faut servir à l’assiette. Avec des plats que nous changeons à chaque soirée. Cette année, nous avions 50 serveurs, 44 personnes en cuisine et 5 sommeliers.

MATERIELS DE CUISINES LOCACUISINES

Comment avez-vous connu LOCACUISINES et pourquoi nous avoir contacté ?

C’est en effectuant des recherches de location de matériels que j’ai connu LOCACUISINES. Ça fait 5-6 ans désormais que je travaille avec vous. Au départ, on a commencé par vous louer des choses basiques et plus on avance dans le temps, plus on loue de matériels chez vous. En février – mars, je contacte Jessy (commerciale chez LOCACUISINES) puis au cours de l’année on affine peu à peu les matériels, les quantités, la date de livraison, …

Lorsque vous avez contacté les équipes LOCACUISINES saviez-vous ce dont vous aviez besoin comme matériels ou nous vous avons conseillé ?

Généralement, je sais ce dont j’ai besoin comme matériels quand je vous appelle. Cette année, Jessy nous a conseillé de prendre des sauteuses spécifiques VCC, elles nous ont été très très utiles, c’était un excellent conseil.

Aviez-vous des craintes ou attentes particulières sur le matériel de cuisine ?

La principale crainte, c’est que le matériel ne fonctionne pas. Aujourd’hui, on vous fait confiance car on a jamais eu de problème avec le matériel envoyé.

Les matériels vous ont-ils permis de travailler comme habituellement ou avez-vous rencontré des limites ?

On arrive à travailler comme on le fait d’habitude. J’arrive à cuire mes poissons à basse température. Donc, j’arrive à garder la même qualité de cuisson que dans mes autres restaurants. On recherche des fours qui soient précis, les vôtres le sont.

À l’occasion du festival, vous avez travaillé dans une cuisine provisoire, avez-vous trouvé des différences avec une cuisine en dur ?

Pour cet événement, on cuisine sous un barnum donc on craint toujours que les cuisines éphémères ne soient pas prêtes quand on arrive au jour J de la production. On travaille sous 450m² repartis entre la cuisine, la plonge et la cantine pour le personnel.

Et si vous deviez résumer votre expérience avec LOCACUISINES en quelques phrases ?

Je dirai : professionnels. Dès qu’on a une demande pour de la location, vous êtes toujours en train de trouver des solutions pour nous arranger. C’est ce qu’on recherche car on court toujours avec le temps. Heureusement que vous êtes là pour nous apporter des solutions, même pour de la dernière minute.

 

Crédits photos : Gérard Bertrand / Soufiane Zaidi / David Fritz

[TÉMOIGNAGE] Guinguette « Un été à la Campagne »

Installation de la guinguette « Un Eté à la campagne » à Fronton (31)

 

Située au pied du château Capdeville à Fronton (31), la guinguette « Un Eté à la Campagne » ouvre ses portes le 2 juin 2022 pour sa deuxième édition. Ouvert 7j/7, en continu, la guinguette met à l’honneur des produits du terroir provenant des circuits courts.

Créée en 2021, par Christophe Vignes et son associé Franck Groseil, la guinguette propose des plats et activités estivales tout au long de la saison. Afin de proposer ce type de restauration, ils ont contacté Locacuisines pour installer une cuisine modulaire pour les 3 mois de service.

Découvrez l’interview de Franck Groseil, associé et chef de cuisine de la guinguette « Un Eté à la Campagne ».

Guinguette un Eté à la Campagne

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots ?

Je m’appelle Franck Groseil. Formé à l’école Ferrandi, j’ai commencé ma carrière en tant qu’apprenti chez Faugeron à Paris. Arrivé à Toulouse en 1996, j’ai commencé à travailler à la brasserie Opéra puis dans d’autres établissements de la ville. C’est au Citron Bleu que j’ai rencontré Christophe Vignes et que nous avons monté notre premier restaurant « Le Poil du Hérisson ». Par la suite nous avons exploité pendant 12 ans le restaurant « la Villa des Chimères ». C’est avec l’arrivée du COVID que nous est venu l’idée de créer un restaurant éphémère « Un Eté à la Campagne », et c’est pour ce projet que nous vous avons contacté.

Quel a été l’élément déclencheur pour la création de la guinguette ? Depuis combien d’années existe-t-elle ?

Après la vente de notre établissement, la Villa des Chimères, la COVID est arrivée. Pour nous, restaurateurs, nous rentrions dans une période difficile. C’est ainsi qu’est né l’idée d’un restaurant éphémère. Nous en avons parlé à la mairie de Fronton et nous avons commencé à lancer le projet. Le 2 juin, nous avons commencé notre deuxième saison.

La guinguette est située dans le domaine de la Maison des Vins, pouvez-vous nous en dire plus sur ce lieu ?

Le domaine de la Maison des Vins est situé au château Capdeville, il héberge également l’office du tourisme du frontonnais. Avec la mairie, nous avons décidé de ce lieu pour plusieurs raisons. Cependant, la première motivation était de produire et de renforcer les circuits courts : aussi bien pour les aliments mais aussi pour les vins de Fronton.

Combien de personnes sont attendues chaque jour ?

Nous avons une capacité de 250 couverts par service. Tout au long de la saison, des évènements sont proposés en plus de la restauration. Tous les événements proposés sont annoncés sur notre site. Durant la saison (du 2 juin au 11 septembre 2022), nous sommes ouverts tous les jours en continu. Les après-midis, nous proposons des rafraîchissements. Les midis et soirs, nous avons une carte simplifiée avec des tapas, salades et grillades. Nos produits sont choisis pour leur qualité et issus des circuits courts. Plus de 70% de notre carte est issus du terroir local.

 

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Penser, créer et installer : l’accompagnement Locacuisines

Quelles étaient vos attentes / craintes envers l’installation d’une cuisine modulaire ?

Mes craintes premières étaient sur le confort et l’agencement de la cuisine. Je souhaitais être complétement à l’aise dans la cuisine, et avoir de l’espace pour travailler. Nous sommes 5 à 6 personnes à travailler quotidiennement dans la cuisine.  Avant toute chose, mes attentes étaient de pouvoir sortir 250 couverts dans de bonnes conditions, ce qui a été chose faite en 2021 avec cette cuisine modulaire.

Qu’attendiez-vous de Locacuisines lorsque vous les avez contactés ?

Au départ, on ne connaissait pas le principe du modulaire. C’est en regardant sur internet que nous avons connu ce secteur, notamment avec la mise en place de cuisines collectives pour des écoles. Nous avons trouvé ce principe ingénieux et efficace.

Nous avons découvert Locacuisines sur internet lorsque nous cherchions une solution de cuisine démontable. Qui plus est, Locacuisines est installée à quelques kilomètres de la guinguette, c’est donc une entreprise locale !

Du moment où vous avez pris contact avec Locacuisines, par quelles étapes êtes-vous passées ?

Dans un premier temps, nous avons rencontré Eric Rameil, le chargé d’affaires, dans les locaux. Durant un moment échange, nous lui avons exposé nos besoins afin qu’il nous fasse une proposition sur plan avec devis. D’ailleurs, étant donné que nous n’avions pas d’expérience sur ce sujet, il n’était pas évident de travailler avec un plan car il était difficile de se projeter. Nous avons fait des projections avec les conteneurs sur site.

Nous avons été bien conseillés par les équipes, grâce à leurs explications, nous avions une projection plus sereine de la cuisine qui allait être montée.

Pour cette année, pouvez-vous nous en dire plus sur l’installation qui a été posée ?

Avec mon associé, nous avons décidé de relancer l’expérience cette année. La cuisine modulaire est une excellente solution pour des événements éphémères comme notre guinguette. La création d’une cuisine éphémère est un modèle économique complexe si l’on souhaite une cuisine de qualité. Toutefois, il est totalement différent d’un investissement et surtout plus adapté pour ce type de projet.

Cette année, 5 modules et 1 QUICK & EAT ont été installés. Nous sommes donc sur une cuisine de 87,5m²

L’année précédente, qu’avez-vous pensé des modules ?

Le lancement de l’année dernière a été quelque peu compliqué. Cependant, nous sommes conscients que toute nouveauté n’est pas simple à mettre en route.

Qu’est-ce qui vous plaît le plus dans les cuisines Locacuisines ?

Je trouve idéal ce principe de cuisine modulaire, surtout pour des lieux, comme le château, qui ne sont pas adaptés pour une cuisine en dur. J’ai aussi pour exemple des endroits insolites comme le bord d’un lac, d’un fleuve etc….

Exploiter un site sans l’abimer et aussi de le préserver, voilà l’immense avantage du modulaire en restauration type traditionnelle. Tout est dans l’organisation et le fonctionnel de la cuisine et là aussi pour chaque projet une étude personnalisée peut se faire. Chacun pourra y trouver son compte.

Et si vous deviez résumer votre expérience avec Locacuisines en quelques phrases ?

En résumé pour ma part, Locacuisines répond à ce jour à mes attentes pour un évènement éphémère dans un lieu préservé.

 

Comme Franck, découvrez nos Quick & Eat  !

Quick & Eat